Je suis Marion, une accompagnante intuitive, exploratrice de l’âme humaine, passeuse entre les mondes visibles et invisibles.

Je marche avec le Tarot comme compagnon,

et j'accompagne celles et ceux qui veulent se reconnecter à ce qu’il y a de plus vrai en eux.

Mais avant d’en arriver là…

J’ai traversé des tempêtes.

Des silences lourds. Des nuits noires. Des boucles.

Et c’est là, dans l’obscur, que j’ai découvert la lumière que je porte aujourd’hui.

Alors si tu veux me connaître vraiment…

Ce n’est pas un CV qu’il te faut.

Mais une traversée.

Je me sentais comme une étrangère dans ma propre peau.

Trop sensible. Trop intense. Trop silencieuse.

Pas assez solide. Pas assez “normale”.

J’essayais de rentrer dans le moule.

De faire comme il faut. D’avancer droit.

Mais au fond de moi, il y avait ce mal-être constant,

cette honte sans nom,

cette culpabilité tenace qui m’enveloppait sans que je sache pourquoi.

J’avais envie d’aider, de transmettre, de guider.

Mais je restais enfermée dans mes propres boucles intérieures.

Je me jugeais à chaque pas.

Je me décourageais avant même d’essayer.

Je rêvais de lien, mais je me coupais du monde.

Je portais une telle tension dans mon corps…

et je mangeais mes émotions pour anesthésier ce que je n’arrivais pas à dire.

Et pourtant… je savais.

Je savais que ce n’était pas un simple manque de volonté.

J’avais déjà exploré l’inconscient.

Je savais que ce sont nos parts invisibles qui tirent les ficelles.

Mais même avec cette conscience-là…

Je restais piégée.

Comme si une part de moi n’avait pas encore reçu l’amour qu’elle attendait depuis toujours.

C’était un jour gris. Juste avant mes lunes.

Un de ces moments où toute l’énergie redescend, où l’on devient poreuse à tout ce qu’on a tenté d’enfouir.

Je me suis retrouvée seule, dans une pièce silencieuse de mon ancien appartement,

face à une fresque que j’avais nommée “Envol”.

Et ce jour-là… je n’ai pas pris mon envol.

J’ai chuté.

Plongée au cœur de mon enfer intérieur.

Un abîme que je connaissais trop bien.

Une douleur indicible, qui serrait mon cœur, mon ventre, ma gorge.

Un cri muet qui disait : “Je n’en peux plus.”

Je pleurais toutes les larmes de mon corps.

C’était violent. Brut. Douloureux.

Injustifiable aux yeux du monde, mais profondément vrai pour moi.

Et là, au cœur de cet effondrement, quelque chose en moi s’est levé.

Une force. Une vérité. Une limite posée.

🗣️ “Ça suffit maintenant.”

“Assez de te juger.”

“Assez de t’étouffer toi-même dans cette boucle.”

“Assez de t’abandonner à cette douleur sans te prendre dans les bras.”

Ce jour-là, j’ai atteint un point de non-retour.

J’ai arrêté de vouloir me réparer.

Et j’ai décidé — pour la première fois — de m’aimer là, dans ma tempête.

J’ai commencé à me rencontrer avec douceur.

À choisir la tendresse plutôt que la colère.

La paix, plutôt que la lutte.

Ce n’était pas une révélation mystique.

C’était une décision viscérale, sacrée, irréversible.

Et elle a tout changé.

C’est que mes schémas parlaient le langage de mes blessures profondes.

Celles qu’on camoufle.

Celles qu’on nomme “failles” ou “faiblesses”.

Celles qu’on préfère fuir plutôt que ressentir.

J’ai vu comment mes peurs relationnelles,

mon rapport conflictuel au corps, à la nourriture, à la réussite…

étaient les échos de mémoires anciennes,

de stratégies de survie inscrites dans mes cellules.

Des parts de moi qui ne voulaient pas saboter ma vie,

mais simplement me protéger de ce qu’elles avaient cru dangereux.

Et petit à petit, j’ai compris :

Je n’étais pas brisée.

J’étais conditionnée.

Tissée de peurs, de mémoires, de mécanismes de protection.

Et surtout…

🌸 prête à me rencontrer vraiment — pour renaître autrement.

• Te sens différente, sans savoir pourquoi

• Aspires à plus grand, mais restes bloquée dans des schémas

• Sens qu’il y a quelque chose en toi qui attend d’être révélé

💫 Si tu es là, ce n’est pas un hasard.